sortie imprévue 3

Il la sentit prête à s’ouvrir pour lui, et il perdit toute notion de temps et de lieu, il se laissa submerger par ses sens, son sexe était dur dans son pantalon, il avait envie d’elle, il avait eu envie d’elle dès qu’il l’avait vu la première fois… Il savait sa situation particulière, il la savait en transition affective mais c’était viscéral, elle faisait preuve d’une grâce féline dans chacun de ses mouvements qui réveillaient en lui ses instincts de mâle.

Que ce soit l’envie de la protéger, celle de la faire rire ou celle de lui faire l’amour, elles se bousculaient toutes, et il se sentait dépassé par ce qu’il ressentait. C’était un sentiment agréable, qu’il se refusait à refouler.

Elle posa sa main sur la bosse qui déformait son jean, et il gémit sous la caresse timide, alors elle s’enhardit à le caresser avec plus d’empressement, et il crût devenu fou.

Il défit son chandail, dévoilant deux magnifiques globes laiteux aux pointes tendues de plaisir, qui n’attendaient que sa bouche, il s’empressa de les satisfaire, les suçotant, les mordillant, elle se cambra sous ses délicieuses caresses…

Alors il entreprit de passer sa main sous sa jupe, entre ses cuisses, et il eût le bonheur de la découvrir humide, frissonnante sous son string de dentelle.

Il l’écarta d’une main fébrile, désirant s’insinuer au plus profond d’elle, elle s’ouvrit comme une fleur sous ses doigts impatients, et soupira lorsqu’il caressa sa tendre humidité.

Ils se mirent à l’aise en abaissant les dossiers des sièges, et sa bouche vint prendre le relais de ses doigts, elle se tordait de plaisir sous ses coups de langue taquins, il laissa sa langue plonger en elle, ses lèvres vinrent aspirer son clitoris, et elle ressentit une décharge de plaisir jamais égalée. Il vint alors introduire ses doigts en elle pour la fouiller davantage encore, elle souleva ses fesses, pour lui permettre de la pénétrer plus profondément encore avec ses doigts et il sentit son corps tout entier se contracter, un doux et chaud liquide vint couler entre ses doigts, inondant la jupe, le siège, sa main…Il la regarda, étonné, elle donc était une femme fontaine… De celles qui giclaient de plaisir, de celles qui se répandaient de jouissance…une merveille…

Elle ronronna comme une chatte, comblée, mais nullement épuisée…Il s’était débarrassé de son jean, et elle regardait, fascinée, son sexe en érection, sa magnifique queue dressée de désir, elle la prit dans sa main et la caressa tendrement d’abord, puis voyant qu’il se relâchait, qu’il lui offrait son organe tendu, elle le prit dans sa bouche, suçotant le gland violacé, malaxant ses bourses pleines, et venant engloutir sa hampe dans sa bouche, chaude, douce, humide, laissant sa langue jouer avec ses chairs ardentes.


         

Elle avait envie de le faire jouir dans sa bouche, elle laissait sa bouche aller et venir sur son vit vigoureux, il se laissa aller, en gémissant, en chuchotant son plaisir, ses désirs, et elle le suça encore et encore, enduisant son sexe de salive, jouant à étirer la peau de son sexe avec ses dents, pressant ses bourses, accélérant le rythme, puis ralentissant, lui enlevant sa bouche, pour le mordiller sur toute sa longueur, et l’enfouissant à nouveau dans la chaleur de sa bouche, le dévorant jusqu’à la garde.

Elle s’acharnait sur son membre avec ardeur, de sa bouche, de sa langue, de ses mains, de ses doigts, de ses ongles, ne lui laissant aucun répit, désirant sa jouissance plus que tout.

Il rendit les armes, épuisé de lui résister, il gicla dans sa bouche, de longs jets, qui vinrent remplir sa bouche et elle l’avala avec délectation, gourmandise, n’en laissant aucune goutte.

Ils échangèrent un long baiser au goût de foutre, dont ils se régalèrent.

Elle se blottit contre lui, juste après avoir remis le chauffage en route, et il recouvrit ses épaules nues de sa veste de cuir…Les amants repus savouraient ces instants de délassement, ce moment de tendresse car ils savaient que leur désir était loin d’être épuisé…

Elle enfouit son visage dans son épaule, consciente de ce qu’ils venaient d’échanger, consciente du plaisir qu’il lui avait donné et de celui qu’elle venait de lui prendre.

Ils prolongèrent leurs ébats dans la voiture embuée, se promettant de veiller à plus confortable la prochaine fois…

Comments

[noir intense 35]

Allons, canaille, je pense bien que tu dois être à la hauteur d'une femme aussi merveilleuse...sourire

[loup-julien]

Je ne suis pas son conjoint, mais j'en bénéficie tout autant à chacune de nos rencontres.
Femme-fontaine et gorge-profonde en plus, il y a la, de quoi perdre la tête en jouissances torrides partagées.
Que ta nuit soit agréable.

[noir intense 35]

Eh oui mais que veux-tu, on ne se refait pas...rires

[noir intense 35]

Serais-tu donc le conjoint d'une femme-fontaine pour si bien en parler et en apprécier les qualités ?

[Kaos]

c'est super moins soft....*rires*